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La date de la prochaine parution du journal n'est pas encore définie! Elle vous sera communiquée aussi rapidement que possible (D'ici 1 à 2 semaines). Bonne lecture... La Rédac'

lundi 31 octobre 2011

Cinq anecdotes sur des maillots peu conventionnels.

Une couleur venue d’ailleurs.
Rayé blanc et noir, le maillot de Juventus de Turin est étrange. En fait, l’équipe devait recevoir en 1903 un maillot rose, commandé à un fournisseur anglais. Ce dernier s’étant trompé, l’équipe adopte les couleurs de celui qu’elle reçoit.

La couleur du Brésil.
Le maillot brésilien, bien connu pour ses couleurs jaune et verte n’a pas toujours été ainsi.
C’est la défaite en finale de coupe du monde contre l’Uruguay en 1950 qui est venu a bout du précédent qui était blanc, l’équipe associant alors cette couleur à celle de la défaite.

Moi, je ne fait pas comme les autres.
Johan Cruyff faisait bande à part. Le Néerlandais ne portait que deux bandes noire, contre trois pour le reste de l‘équipe. Le secret vient du contrat passé entre le joueur et Puma. Il refusait donc de porter les trois bandes noire d’Addidas.


Sponsor ou pas sponsor ?
Les sponsors n’ont pas toujours été les bien venus sur les maillots français. Ils sont autorisés à partir de 1968, mais la nouveauté ne plait pas à la télévision. Ce n’est donc qu’en décembre de l’année que Valenciennes devient le premier club à aborder Vittel sur son maillot. Vichy St-Yorre et Perrier apparaissent ensuite lors de la coupe de France de 1970.

Le plus cher des maillots.
La société pétrolière Tamoil contrôlée par la famille Khadafi ( pas sure que ça soit encore le cas…) a dépensé plus de 110 millions d’euros sur 5 ans pour être sur les maillots de la Juventus de Turin. Elle était alors a l’époque le sponsor le plus rentable pour une équipe, à égalité avec AIG pour Manchester United.

Thomas R.

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